
Le journaliste aéronautique Patrick Anspach est décédé hier à l’âge de 69 ans.
Il était le parrain du journalisme aéronautique en Belgique et l’un des fondateurs et moteurs de l’Aviation Press Club (APC).
En tant que journaliste aéronautique belge de premier plan, il a parcouru le monde, combinant ses deux principales passions, l’aviation et les voyages.
Au cours de sa carrière, il a été rédacteur en chef du mensuel belge sur l’aviation “Aviastro”, chroniqueur aéronautique pour le magazine économique belge L’Écho et spécialiste de l’aviation pour la RTBF et Travel Express. Il était membre de l’Académie française de l’air et de l’espace.
Une grande perte, non seulement pour la presse aéronautique belge, mais aussi en tant qu’être humain, un homme de caractère doté d’un grand sens de l’humour qui nous manquera.
Les conversations avec Patrick étaient toujours agréables et calmes, agrémentées d’une touche d’humour. Un homme fantastique.
La rédaction de TravMagazine présente ses condoléances à la famille, aux amis et aux collègues.
Ciao Dino. Tu me laisses bien seul pour fêter, le 25 septembre à minuit, mon 70ème anniversaire.
Have a good flight in the clouds. We will miss you.
Un journaliste extraordinaire certainement, par la carrière, exceptionnelle, à travers la Belgique, l’Europe et le monde, mais aussi par le professionnalisme, la fraternité et l’éthique comme en atteste entre autres le rôle qu’il exerça au sein des associations professionnelles et des organismes d’agrégation des Journalistes. Un formidable ami aussi, toujours à l’écoute, toujours fidèle, convivial et caractérise par un sens aigu de l’humour (er quelque fois aussi de l’ironie plus souvent bon enfant que sarcastique). Et puis quel talent, quelle mémoire quel merveilleux sens de la narration.! Qu’est-ce que tu vas nous manquer, sacré Patrick , mais on se console et TE console, toi et les tiens, en pensant que tu es allé rejoindre celui que tu évoquais chaque année à la mi-mars : le saint “patron” de l’Irlande.
Au revoir Patrick, on penseea souvent à toi et à bons mots qui nous forcaient à l’optimisme et l’amour du métier.
Bon vent, bon vol !
André Buyse, ton confrère et ami avec son épouse Mireille