
Hier, TravDay a eu lieu à Bruxelles, au milieu des grèves des transports publics et d’une menace de fermeture de l’espace aérien. Malgré tous ces obstacles, rien de tout cela n’était perceptible sur le salon : l’enthousiasme des exposants et des participants a une fois de plus créé cette ambiance typique de TravDay, où networking et informations commerciales vont de pair.
Cette quatrième édition de TravDay a marqué une étape importante dans l’histoire encore relativement jeune de cet événement. TravDay était le tout premier salon professionnel qui a réuni les professionnels du voyage à la fin de la période de la covid, à l’époque à Gand. Cette quatrième édition en deux ans nous a emmenés à l’hôtel Holiday Inn Airport à Diegem. La présence d’un tiers d’agents de voyages francophones parmi un peu plus de 300 participants a fait de TravDay le tout premier salon professionnel véritablement belge.
Le préprogramme sur la durabilité et l’intelligence artificielle (mettant l’accent sur l’utilisation pratique de ChatGPT par chaque professionnel du voyage) a été très fréquenté, marquant ainsi le début du salon. Le reste du concept, avec des stands professionnellement et interactivement tenus ainsi que des présentations distinctes pour des groupes de 30 à 40 personnes dans des salles séparées, est resté exceptionnellement solide.
TravDay a prouvé qu’après un congrès commun de la VVR et de l’UPAV ainsi que des initiatives nationales de la BTC, les professionnels du tourisme belges sont prêts à faire des affaires au-delà des frontières linguistiques, à absorber des informations et à faire du networking avec un regard ouvert et une passion unificatrice pour leur métier. We are travel in Belgium. Hell, yes !